« Parmi les fléaux destructeurs, naturels et indépendants de l’homme, il faut ranger en première ligne la peste, la famine, les inondations, les intempéries fatales aux productions de la terre. Mais l’homme n’a-t-il pas trouvé dans la science, dans les travaux d’art, dans le perfectionnement de l’agriculture, dans les assolements et les irrigations, dans l’étude des conditions hygiéniques, les moyens de neutraliser, ou tout au moins d’atténuer bien des désastres ? Certaines contrées jadis ravagées par de terribles fléaux n’en sont-elles pas préservées aujourd’hui ? Que ne fera donc pas l’homme pour son bien-être matériel quand il saura mettre à profit toutes les ressources de son intelligence, et quand au soin de sa conservation personnelle il saura allier le sentiment d’une véritable charité pour ses semblables. » |