Dieu ne pouvait-il employer pour l’amélioration de l’humanité d’autres moyens que les fléaux destructeurs ? Question n° 738 du Livre des Esprits
« Que la mort arrive par un fléau ou par une cause ordinaire, il n’en faut pas moins mourir quand l’heure du départ a sonné : la seule différence est qu’il en part un plus grand nombre à la fois.
Si nous pouvions nous élever par la pensée de manière à dominer l’humanité et à l’embrasser tout entière, ces fléaux si terribles ne nous paraîtraient plus que des orages passagers dans la destinée du monde. »